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Etre n°2 d’une draft, n’est jamais une garantie de réussite ni de stabilité.
Et quand en plus il s’agit d’une des pires de ces 15 dernières années (draft 2000), le transfert se révèle alors, à l’image de la contrepartie (Jason Collins), anecdotique.
Et si Stromile n’a jamais vraiment bougé qu’en suivant sa franchise, ou pour y revenir après une saison (passage à Houston), il n’a jamais vraiment explosé non plus.
Pourtant à sa sortie de LSU, il était attendu de lui ce qu’a réalisé Amare Stoudemire, des performances sur les bases d’un physique exceptionnel.
Mais le Stromile de Memphis ne fut qu’un joueur honnète au rendement solide sur une vingtaine de minutes.
Faut-il pourtant s’arrêter à ça ?
Non, parce que quand on est intérieur et qu’on arrive au Nets, on sait que le temps de jeu sera conséquent, et la concurrence réduite.
Alors s’il ne sera jamais Amare, Stromile a toujours des arguments, sans doute de quoi envisager une seconde carrière.

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