Retour à la liste

Nouveau dérapage verbal de Louis Nicollin, samedi soir à l’issue de la défaite de Montpellier à Auxerre (2-1). A chaud, le président du club héraultais s’en était pris à Benoît Pedretti, le traitant de « petite tarlouze ». Si le patron montpelliérain est un habitué des petites phrases chocs et choquantes, celle-ci a soulevé de très nombreuses réactions. La déclaration de trop ? Une chose est sûre, le Conseil National de l’Ethique (CNE) s’est saisi de l’affaire, et Louis Nicollin risque une suspension d’un à deux mois de ses fonctions officielles.

Hier, le patron de la Paillade a pris son téléphone et s’est excusé auprès du capitaine auxerrois. « Pour moi, l’affaire est close, a indiqué Pedretti dans les colonnes de L’Équipe. (…) On sait que c’est quelqu’un d’entier. Il a dit ça sous le coup de l’énervement ». Et Louis Nicollin de tenter un apaisement à sa manière : « On a le droit de s’exprimer à la fin d’un match. On peut se parler, se dire les choses. (…) On est des hommes, pas des gonzesses ». Chacun jugera de la légèreté et de la classe des propos du président héraultais…

Retour à la liste